[TICE] Quatre outils indispensables dans le micro learning

Le micro learning, c’est apprendre ce dont en a besoin, au moment et dans le lieu que l’on choisit – et qui n’est pas forcément en rapport avec le bureau. Intimement lié au
mobile learning, le micro learning repose sur différentes méthodes adaptées à ce format exigeant, dont voici quatre exemples.

Les démos vidéo et les pop quizzes

Les démos, capsules vidéo d’une à deux minutes, sont nécessaires pour illustrer tout propos, afin de permettre aux apprenants d’observer en faits concrets ce qu’ils viennent d’apprendre.  Ils peuvent ainsi calquer leurs actions ou s’en inspirer, pour améliorer leurs performances et leur productivité. Les démos doivent être claires et aller immédiatement à l’objectif recherché, comme tout outil de micro learning.

Les pop quizzes, apparaissant à l’issue de chaque module e-learning, n’ont pas vocation à embarrasser les apprenants avec des questions ardues, mais à récapituler les acquis, les transformer en informations adaptées pour la mémoire à long terme, et aussi identifier les thèmes à approfondir. Là-aussi, ces pops quizzes doivent être limités à quelques questions.

Infographies et simulations

Incontournables, les infographies offrent un panorama illustratif récapitulant précisément toutes les données nécessaires, sans information superflue. L’atout majeur d’une bonne infographie est de combiner les effets visuels percutants avec des textes très courts. Conçues pour marquer immédiatement les esprits, les infographies se partagent en outre facilement sur les réseaux sociaux.

Les simulations, avec les démos, permettent aux apprenants de dépasser la théorie et de mettre en œuvre virtuellement leurs acquis, sans risque. Ils disposent ainsi d’une pré-expérience, renouvelable à volonté, avant de passer à la pratique en circonstances réelles. Les serious games peuvent représenter une forme de simulations, testant en parallèle les connaissances de l’apprenant.

Le micro learning n’est pas une invention farfelue 2.0 ; il s’agit plutôt d’une conséquence logique et admise de la démocratisation des matériels mobiles et des habitudes des nouvelles générations, baignant dans un univers numérique.