Se former aux métiers animaliers : Cours Animalia
Faire de son intérêt pour les animaux son métier : un objectif fréquent mais parfois ambitieux, du moins pour les spécialités les plus exigeantes, alors qu’un ménage français sur deux possède un animal domestique. Le Cours Animalia est une école spécialisée dans cette thématique, proposant des formations en ligne sur une demi-douzaine de métiers animaliers.
Une école en ligne dédiée aux métiers animaliers
Le centre de formation privé le Cours Animalia propose à tous les passionnés d’animaux d’en faire leur métier à part entière, à travers une série de formations à distance par correspondance et également disponibles en ligne : auxiliaire de santé animale, élevage canin, élevage équin, élevage félin, toilettage de chiens, secrétaire-assistant(e) vétérinaire, ou encore vente en animalerie.
Pour toutes les personnes désireuses de s’établir à leur compte, le Cours Animalia propose aussi une formation spécifiquement destinée à cet objectif, en préparant à l’examen du certificat de capacité « animaux domestiques ». Les cours sont réalisés par des professeurs spécialistes des métiers animaux, incluant des offres de stages pratiques ainsi que des périodes en milieu professionnel grâce à des conventions de stage, et également des corrections spécialisées.
Les métiers animaliers ne connaissent pas la crise
L’avenir des métiers animaliers semble au beau fixe, servi par une passion bien française pour les animaux domestiques. Un foyer français sur deux possède au moins un animal domestique, avec un budget conséquent aussi bien pour les nécessités (nourriture, soin…) que pour le confort des animaux. De nouveaux métiers ont ainsi émergé ces dernières années, comme « comportementaliste » – c’est-à-dire psychologue, pour analyser la relation entre les animaux et leurs maîtres !
Si les poissons dominent toujours de loin les animaux domestiques favoris des français, une tendance forte se détache depuis les années 2000, avec la montée en puissance des chats : 13,5 millions en 2016, contre « seulement » 10 millions en 2006. À l’inverse, les chiens ne cessent de décroître en nombre, avec 7,3 millions de canidés en 2016, contre 9 millions en l’an 2000. L’une des raisons serait dû à la dépendance un peu trop élevée des chiens, qui s’accorde mal avec les désirs de mobilité.
Autre signe de changement des comportements : les oiseaux domestiques sont de moins en moins nombreux, leur enfermement en cage apparaissant comme une pratique quelque peu arriérée…